Lucie Nadeau - Présidente Photo : Sylvie Trépanier

Message de la présidente

C’est avec plaisir que je vous présente le Rapport annuel de gestion 2020-2021 du Tribunal administratif du travail. Il dresse le bilan des réalisations du Tribunal en regard de sa planification stratégique et des résultats atteints au 31 mars 2021. Il présente également les activités réalisées conformément aux exigences législatives et gouvernementales.

À l’instar de la fin du précédent exercice, l’année 2020-2021 a été marquée par la pandémie de la COVID-19, qui a eu un effet direct sur les activités du Tribunal, dont le report d’audiences et de séances de conciliation entre mars et juin 2020. Un décret du gouvernement dictait la fermeture des bureaux; seules les demandes urgentes pouvaient être traitées en présence. L’implantation du télétravail et les efforts déployés par les différentes équipes ont permis d’assurer la continuité des activités.

Durant cette période de fermeture, le Tribunal a dû proposer de nouvelles mesures pour faire cheminer le traitement des dossiers. Avec l’accord des parties, il a privilégié les conférences préparatoires et les audiences par téléphone ou par visioconférence, et les séances de conciliation à distance. Les locaux du Tribunal ont également été aménagés afin de respecter les mesures de distanciation physique pour un retour en présence.

Le Tribunal a rapidement mis en place les moyens technologiques et les outils pédagogiques nécessaires pour la tenue d’audiences et de séances de conciliation en mode virtuel. Ainsi, à l’automne, le Tribunal réussissait à convoquer autant de dossiers qu’à la normale. Une grande majorité des audiences étaient tenues en mode virtuel. Le service de conciliation a été maintenu tout au cours de l’année par téléphone ou en mode virtuel aussi. La pandémie nous aura assurément incités à accélérer notre virage technologique et à diversifier notre offre de services.

Qui plus est, le Tribunal a déployé beaucoup d’efforts pour informer ses clientèles et son personnel au fil des changements apportés aux consignes sanitaires et, par le fait même, à ses services.

Ajoutons que l’important chantier entourant l’harmonisation des systèmes de mission du Tribunal a été finalisé en octobre 2020 avec l’implantation de SISTA-TAT dans toutes les divisions. Pour plus de détails sur ce projet d’envergure et sur toutes les activités qui ont marqué l’exercice 2020-2021, je vous invite à consulter la section des faits saillants du présent rapport.

En plus de gérer toutes les conséquences de la pandémie sur les activités du Tribunal, le comité de direction a élaboré sa nouvelle planification stratégique, qui sera dévoilée dans les prochains mois. Pour les années à venir, le principal défi du Tribunal sera de répondre à l’augmentation des dossiers qui lui sont soumis et, simultanément, de réduire les délais de traitement, sans omettre les nouveaux pouvoirs qui lui sont ponctuellement confiés et qui ont une incidence sur l’organisation du travail.

Par ailleurs, les travaux entourant le regroupement des bureaux du Tribunal situés à Montréal ont pu être entamés en début d’année 2021. Il s’agit d’un projet important pour le développement du Tribunal, puisqu’il vise à regrouper les services offerts aux citoyens et à répondre aux besoins de l’organisation. De plus, les bureaux de Saint-Jean-sur-Richelieu et de Gatineau ont fait l’objet d’un déménagement en octobre 2020 et en mars 2021 respectivement. Ces bureaux sont désormais modernisés et aménagés à l’image du Tribunal, c’est-à-dire entièrement conçus pour répondre aux besoins de ses quatre divisions.

Au cours de la dernière année, des changements ont eu lieu au sein du comité de direction, notamment en raison du départ à la retraite de Mme Line Corriveau, secrétaire générale et responsable du Bureau de la présidence, et de M. Gérard Notebaert, vice-président de la qualité et de la cohérence. Ce dernier a été remplacé par Mme Annie Beaudin qui occupe aujourd’hui le poste. Je salue ici leur remarquable travail collaboratif.

J’aimerais finalement témoigner ma plus grande admiration à tous les membres du personnel, aux conciliateurs-agents de relations du travail et aux juges administratifs du Tribunal, ainsi qu’à chacun des membres de la direction. Leur dévouement envers notre mission et leur impressionnante capacité d’adaptation sont la clé de notre réussite.

Ensemble, nous veillons à ce que les citoyens et les représentants qui se présentent devant notre tribunal puissent mettre un point final à leur litige, et ce, toujours dans les meilleures conditions qui soient. Malgré le contexte exceptionnel de la pandémie, le Tribunal a pu continuer à remplir sa mission et à offrir des services de qualité aux citoyens.

Bravo et merci!

Comité de directionau 31 mars 2021

Comité de direction Ouvrir/Fermer

De gauche à droite, de haut en bas :

Claude Métivier, directeur général des technologies et du pilotage, et directeur des opérations de la Vice-présidence des relations du travail

Annie Beaudin, vice-présidente de la Vice-présidence de la qualité et de la cohérence

Marie-Claude Laberge, secrétaire générale et adjointe juridictionnelle

Francine Mercure, vice-présidente des opérations de la Division de la santé et de la sécurité du travail

Lucie Nadeau, présidente

Gaëtan Breton, vice-président des opérations des divisions des relations du travail, des services essentiels, et de la construction et de la qualification professionnelle

Gino Gagnon, directeur général des services administratifs, et directeur des ressources financières par intérim

Line Corriveau, secrétaire générale et responsable du Bureau de la présidence

 


Au cours du présent exercice, quelques changements ont eu lieu au sein du comité de direction du Tribunal. Parmi eux :

• Le départ à la retraite de Monsieur Gérard Notebaert, vice-président de la qualité et de la cohérence, remplacé par Madame Annie Beaudin;
• Le départ à la retraite de Madame Line Corriveau, responsable du Bureau de la présidence, remplacée à titre de secrétaire générale par
Madame Marie-Claude Laberge;
• La contribution de Madame Marie-France Bernier, directrice des services juridiques p. i.

L'organisation
en bref

Le Tribunal administratif du travail
au 31 mars 2021

L'organisation<br />en bref
L'organisation<br />en bref

Le Tribunal administratif
du travail

Mission

Le Tribunal administratif du travail est appelé à statuer sur de nombreux recours liés au monde du travail, notamment en matière de santé et de sécurité du travail.

Grâce à ses 25 bureaux et points de service répartis à travers le Québec, il offre des services accessibles à tous les citoyens.

Le Tribunal encourage le règlement des litiges à l’amiable en offrant le service de conciliation dans toutes ses divisions. Si les parties ne parviennent pas à un règlement ou si elles ne souhaitent pas recourir à la conciliation, elles peuvent se faire entendre en audience devant un juge administratif qui rendra une décision en fonction de la preuve et des arguments présentés.

Les activités du Tribunal sont réparties dans quatre divisions.

  • Division des relations du travail
    Cette division a pour mandat de statuer sur un large éventail de recours liés à la protection de l’emploi, aux droits d’association et de négociation, à l’équité salariale, aux agences de placement de personnel et aux agences de recrutement de travailleurs étrangers temporaires. Elle est chargée d’assurer l’application du Code du travail (RLRQ, c. C-27), à l’exception des chapitres V.1 et IX, et d’entendre les affaires découlant de la Loi sur les normes du travail (RLRQ, c. N-1.1) et d’une quarantaine d’autres lois. Selon la nature du recours, le Tribunal peut, sur demande, entendre les parties en urgence.


    Protection de l’emploi

    En matière de protection de l’emploi, le Tribunal statue sur les plaintes concernant les situations suivantes :

    • Congédiement sans cause juste et suffisante;
    • Destitution, suspension ou réduction de traitement d’un fonctionnaire ou d’un employé municipal;
    • Mesures de représailles en raison de l’exercice d’une activité syndicale ou d’un droit prévu par différentes lois;
    • Harcèlement psychologique au travail.


    Ces recours concernent principalement les employés non syndiqués des entreprises du Québec ainsi que certains cadres, dont les cadres
    municipaux.


    Droits d’association et de négociation

    Le Tribunal est responsable du régime d’accréditation syndicale prévu par le Code du travail. Il s’occupe aussi du régime de reconnaissance des associations de personnes responsables d’un service de garde en milieu familial (RSG), visées par la Loi sur les services de garde éducatifs à l’enfance (RLRQ, c. S-4.1.1), et de la reconnaissance des associations de ressources de type familial et de certaines ressources intermédiaires (RTF/RI), visées par la Loi sur les services de santé et les services sociaux (RLRQ, c. S-4.2). Le Tribunal est également responsable de la reconnaissance des associations d’artistes et des associations de producteurs, et définit les secteurs de négociation ou les champs d’activité.

    De plus, il statue sur les plaintes des salariés qui estiment que leur association n’a pas rempli son devoir de juste représentation à leur égard, de même que sur les plaintes pour non-respect des dispositions du Code du travail lors de négociations, d’une grève ou d’un lock-out. Le Tribunal a aussi compétence pour régler les difficultés qui pourraient survenir lors du processus d’accréditation des employés de l’unité autonome de vérification instituée au sein de la Commission de la construction du Québec, en vertu de la Loi concernant la lutte contre la corruption (RLRQ, c. L-6.1). 

    Équité salariale

    Le Tribunal statue sur toute demande relative à l’application de la
    Loi sur l’équité salariale (RLRQ, c. E-12.001). Lorsqu’une partie est insatisfaite des mesures déterminées par la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST), elle peut s’adresser au Tribunal qui, selon le cas, pourra annuler, modifier ou confirmer la décision de la CNESST.

    Par ailleurs, si la CNESST estime que les mesures qu’elle a déterminées ne sont pas appliquées à sa satisfaction dans le délai imparti, ou si elle croit qu’une disposition de la Loi n’est pas respectée, elle peut faire appel au Tribunal qui rendra les ordonnances appropriées, le cas échéant.

    Agences de placement et agences de recrutement

    En vertu de l’article 92.8 de la
    Loi sur les normes du travail et du Règlement sur les agences de placement de personnel et les agences de recrutement de travailleurs étrangers temporaires (RLRQ, c. N-1.1, r. 0.1), le Tribunal statue sur les contestations des décisions de la CNESST en matière de refus, de suspension, de révocation ou de non-renouvellement du permis d’exercice de ces agences. Le Tribunal se prononce également sur les contestations des agences ayant fait l’objet d’une mesure administrative pour ne pas avoir respecté leurs obligations.

  • Division de la santé et de la sécurité du travail

    Cette division statue sur les contestations des employeurs et des travailleurs à l’encontre d’une décision en matière de santé et de sécurité du travail, rendue par la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST).

    Les responsabilités de cette division découlent de la Loi sur les accidents du travail et les maladies professionnelles (LATMP) (RLRQ, c. A 3.001) et de la Loi sur la santé et la sécurité du travail (LSST) (RLRQ, c. S-2.1).

    Les contestations relevant de la Division de la santé et de la sécurité du travail portent principalement sur des sujets relatifs :

    • à l’indemnisation des victimes et à la réparation des conséquences découlant d’une lésion professionnelle;
    • à la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles;
    • au financement du régime de santé et de sécurité du travail.


    Cette division traite également les plaintes à l’encontre de mesures disciplinaires ou autres sanctions imposées à un travailleur à la suite de l’exercice d’un droit prévu par la LATMP ou la LSST.

    Le Tribunal entend aussi les affaires formées en vertu du Règlement sur le retrait préventif de certaines personnes responsables d’un service de garde en milieu familial (RLRQ, c. R-24.0.1, r. 1). Ce règlement met en place un régime de retrait préventif pour les responsables d’un service de garde qui sont enceintes ou qui allaitent. Ces dernières, ou le ministre de la Famille, peuvent s’adresser au Tribunal pour contester une décision de la CNESST à la suite d’une révision administrative.

  • Division des services essentiels
    Cette division a pour mission de veiller au maintien des services essentiels afin d’assurer que la santé ou la sécurité de la population ne soient pas mises en danger lors de grèves légales, sans toutefois empêcher l’exercice du droit de grève. Lorsque des moyens de pression sont jugés illégaux, le Tribunal intervient pour s’assurer que le public reçoit les services auxquels il a droit.


    La Division des services essentiels exerce ses pouvoirs dans les domaines suivants :

    • Les services publics (eau, électricité, transports en commun, etc.);
    • Les secteurs public et parapublic (réseau de la santé et des services sociaux, fonction publique québécoise incluant l’agence autonome Revenu Québec, les collèges, les centres de services scolaires, etc.).

    Le Tribunal a le pouvoir d’ordonner à un employeur et une association accréditée de maintenir des services essentiels dans les services publics, si une grève risque de compromettre la santé ou la sécurité publique. Le Tribunal peut aussi rendre une décision pour le même motif à l’égard d’une entreprise qui ne constitue pas un service public au sens du Code du travail, mais dont la nature des opérations la rend assimilable à ce type de service.

    De plus, le Tribunal évalue la suffisance des ententes ou des listes de services essentiels à maintenir pendant une grève.

    Dans un service public (ou une entreprise assimilable) visé par une décision ordonnant le maintien des services essentiels, le Tribunal a le pouvoir de suspendre l’exercice du droit de grève lorsque les services essentiels prévus à une entente ou une liste ou effectivement rendus lors d’une grève sont insuffisants et que la santé ou la sécurité du public est mise en danger.

    Dans le réseau de la santé et des services sociaux, les ententes ou listes de services essentiels doivent être approuvées par le Tribunal ou réputées approuvées pour que l’association accréditée puisse exercer son droit de grève.

    Dans la fonction publique, le Tribunal peut intervenir, à défaut d’entente entre les parties, pour déterminer les services essentiels à maintenir.

    Le Tribunal administratif du travail est également doté de pouvoirs de redressement lui permettant :

    • de faire enquête sur une grève, une action concertée, un lock-out ou un ralentissement d’activités qui contrevient à une disposition du Code du travail;
    • d’intervenir lorsqu’un conflit porte préjudice ou est vraisemblablement susceptible de porter préjudice à un service auquel le public a droit ou encore lorsque les services essentiels prévus à une liste ou une entente ne sont pas rendus ou s’avèrent insuffisants;
    • de rendre une ordonnance pour redresser ces situations;
    • de prévoir des mesures de réparation visant à compenser un préjudice.

    Enfin, la Division des services essentiels du Tribunal doit sensibiliser les parties au maintien des services essentiels lors d’une grève et informer le public sur toute question relative au maintien de ces services.

  • Division de la construction et de la qualification professionnelle
    Cette division statue sur plusieurs recours prévus par des lois visant l’industrie de la construction. Le Tribunal est ainsi appelé à se prononcer sur les contestations de certaines décisions rendues par la Commission de la construction du Québec, la Régie du bâtiment du Québec, la Corporation des maîtres électriciens du Québec, la Corporation des maîtres mécaniciens en tuyauterie du Québec ou par Emploi-Québec.

    Les recours que traite la Division de la construction et de la qualification professionnelle concernent notamment :

    • la délivrance ou le renouvellement d’un certificat de compétence;
    • la délivrance, la modification, la suspension ou l’annulation d’une licence d’entrepreneur en construction;
    • l’admissibilité à l’examen de qualification d’un métier de la construction ou d’un secteur autre que celui de la construction;
    • la suspension de travaux de construction.

    De plus, dans cette division, le Tribunal peut :

    • déterminer si des travaux sont assujettis à la Loi sur les relations du travail, la formation professionnelle et la gestion de la main-d’œuvre dans l’industrie de la construction (RLRQ, c. R-20) ou à la Loi sur le bâtiment (RLRQ, c. B-1.1);
    • statuer sur les recours concernant une licence restreinte d’entrepreneur pour l’obtention d’un contrat public;
    • rendre une décision lors de conflits de compétence entre différents métiers ou différentes occupations du secteur de la construction;
    • déterminer la convention collective applicable à des travaux de construction selon le secteur d’activité et se prononcer sur la validité d’une clause de convention collective.

    Par ailleurs, le Tribunal statue sur les plaintes des salariés de l’industrie de la construction qui estiment que leur association n’a pas rempli son devoir de juste représentation à leur égard. Il s’occupe également des plaintes relatives à l’exercice de la liberté syndicale dans le secteur de la construction ou à l’exercice des droits de grève et de lock-out.

 

Vision

Le Tribunal administratif du travail est un tribunal unifié, accessible et d’avant-garde qui offre aux citoyens des services de qualité, et ce, partout au Québec.

 

Valeurs

Accès à la justice

Impartialité

Écoute

Respect

Clientèle

Les services du Tribunal s’adressent aux :

  • salariés, syndiqués ou non;
  • cadres;
  • employeurs;
  • travailleurs;
  • personnes responsables d’un service de garde en milieu familial qui sont enceintes ou qui allaitent;
  • associations de salariés;
  • unités de négociation du secteur des affaires sociales;
  • associations de personnes responsables d’un service de garde en milieu familial (RSG);
  • associations de ressources de type familial et de certaines ressources intermédiaires (RTF/RI);
  • associations d’artistes;
  • associations de producteurs;
  • intervenants de l’industrie de la construction (salariés, entrepreneurs, associations syndicales, associations patronales, organismes publics);
  • agences de placement de personnel et agences de recrutement de travailleurs étrangers temporaires;
  • personnes intéressées qui désirent l’intervention du Tribunal afin que soit assuré le maintien de services essentiels pour préserver la santé et la sécurité de la population.

 

Déclaration de services
aux citoyens

https://www.tat.gouv.qc.ca/fileadmin/tat/6Le_Tribunal/Publications_et_documents/Plan_strategique_et_Declaration_de_services_aux_citoyens/Declaration_de_services_aux_citoyens_wai_mars_2017.pdf

 

Organigramme

au 31 mars 2021

https://rapportannuel.tat.gouv.qc.ca/wp-content/uploads/2020/04/organigramme_du_tribunal_31-mars-2020.pdf

Bureaux du Tribunal

Le Tribunal administratif du travail compte 25 bureaux et points de service répartis à travers le Québec. Il offre ainsi des services accessibles et s’assure de leur uniformité d’une région à l’autre. Pour connaître les coordonnées des bureaux du Tribunal, veuillez consulter la page « Nous joindre » du site Web du Tribunal.

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Consultez la liste complète de nos bureaux

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Ressources humaines

L’effectif autorisé au Tribunal administratif du travail pour l’exercice 2020-2021 était de 961 731 heures, soit l’équivalent de 527 postes à temps complet (35 heures).

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Services régionalisés

Grâce à ses bureaux répartis à travers le Québec, le Tribunal facilite l’accès à ses services. Le personnel affecté au service direct aux citoyens représente  80 % de l’effectif global.

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Données
sur les opérations du Tribunal

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Résultats en regard de la planification stratégique
2016-2021

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Exigences législatives et gouvernementales

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États financiers

Annexe

Lois relevant de la compétence du
Tribunal administratif du travail

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